Réussir le copywriting de ses emails marketing : le guide pratique 2025 pour convertir sa liste email en chiffre d'affaires

Aujourd’hui, beaucoup d’entreprises utilisent encore l’email comme un simple levier de promotion.

Mais elles envoient des emails uniquement quand elles ont besoin de clients.


C’est précisément ce que je refuse de faire dans mes séquences email.


Je fais partie d’une nouvelle génération d’email copywriters qui croit en une approche radicalement différente : l’éducation, la relation, mais toujours le ROI.
Mais pas de pratiques de vente agressive.

Pas de promesse criarde.


Juste une stratégie qui part du lecteur — et qui le guide intelligemment vers la décision d’achat.


Parce que les gens ne veulent pas qu’on leur vende.


Ils veulent comprendre, s’identifier, et choisir d’acheter quand c’est le bon moment pour eux.


Je considère qu'une bonne séquence email, est un accompagnement.


C’est ce qui permet de créer une vraie relation avec votre liste, d’éduquer vos prospects, de partager vos réflexions, votre vision, vos convictions… jusqu’à ce qu’ils aient envie de bosser avec vous.


Voici pourquoi vous devez miser sur l’emailing aujourd’hui ?





  • ⚙️ C’est rapide à déployer, et entièrement automatisable : Une bonne séquence email génère des milliers d’euros, encore et encore, sans lever le petit doigt.


  • 📈 Le taux de conversion est supérieur à n’importe quelle autre source de trafic (pub, réseaux sociaux, SEO compris).


Et ce n’est pas tout. L’email, bien maîtrisé, vous permet de :

  • Attirer de nouveaux prospects (et les convertir avec votre séquence email)
  • Fidéliser (en maintenant le lien, en entretenant la confiance toujours par email)
  • Réactiver des contacts dormants (ceux qui n’avaient juste pas cliqué au bon moment)


Je le répète souvent à mes clients : votre liste email, c’est votre actif le plus sous-exploité.


Si vous voulez un retour sur investissement rapide, c'est du côté de votre liste email qu'il faut regarder. Et si vous n'en avez pas, votre priorité n°1 est de mettre tous les moyens nécessaires en oeuvre pour la construire. Site web, SEO, publicité Google peuvent ne feront que décupler votre chiffre d'affaire si et seulement si vous mettez en place un moyen de capter les emails et d'animer votre base de clients. Plus vous attendez, plus vous perdez du chiffre d'affaires.


Mais SVP, oubliez les newsletters poussives et les emails commerciaux envoyés “parce qu’il faut relancer la base” ou parce que vous avez besoin de "rentrer du chiffre".

Vos prospects vous voient venir, ils savent et ça ne marche plus.


Ce que je vous propose ici, c’est une méthode actionnable pour écrire des séquences email qui éduquent, créent du lien et convertissent.


Qui démontrent votre valeur.

Et qui vendent — naturellement, sans forcer.

Comment écrire des objets d’email qui donnent envie de cliquer (sans arnaquer personne)

faire cliquer sur des emails copywriting

Votre email peut être parfait, mais s’il n’est pas ouvert… il ne sert à rien.


L’objet, c’est la première barrière psychologique à franchir.


C’est la ligne qui doit à la fois susciter l’intérêt, donner envie, sans tomber dans la manipulation.


Je ne cherche pas à piéger les gens avec des objets racoleurs.
Je veux qu’ils ouvrent parce qu’ils sentent que ça va les nourrir, les faire avancer, les concerner.


Quelques principes que j’applique systématiquement :


  • Clarté > créativité : un bon objet peut être simple comme “Tu passes à côté de 80 % de tes ventes”.
  • Curiosité dosée : “Ce que j’ai appris après 132 mails ignorés”
  • Miroir émotionnel : “Et si ton offre n’était pas le vrai problème ?”
  • Personnalisation utile : pas juste le prénom, mais une référence à une situation vécue (segmentée).


Et surtout : je teste. Toujours.


Vous connaissez sûrement cette histoire, mais elle mérite d’être citée :


obama consulte ses emails


Pendant la campagne présidentielle de Barack Obama en 2012, son équipe a envoyé des centaines d’emails pour récolter des dons.


Devinez lequel a rapporté le plus d’argent ?


Un email avec pour objet simplement : “hey”.

Juste “hey”.


Pourquoi ? Parce que c’était désarmant, personnel, inattendu.
On aurait dit un mail envoyé par un pote (Barack Obama quand même).

Résultat : des millions levés en quelques heures.


Ça ne veut pas dire qu’il faut faire pareil.


Mais ça prouve une chose : ce qui fonctionne, c’est ce qui crée une vraie sensation de proximité.

Soignez votre contenu : utile, lisible, orienté vers l'action

Un bon email, n'est pas un mini-ebook.

C'est une histoire en plusieurs chapitre, une mini-série. Avec plusieurs saisons si vous le souhaitez.
Le bon format pour votre email est aux alentours des 300 à 350 mots.


Il est écrit dans le but de saisir l’attention, raconter une mini-histoire, une réflexion personnelle et le plus important générer une action.

Je me pose toujours cette question avant d’écrire :

“Qu’est-ce que je veux que le lecteur pense, ressente, ou fasse après avoir lu ça ?”


Et voilà comment je structure mes contenus :

  • 1 idée principale par email :


Pas deux.
Pas dix.
Une seule.

Et je la développe à fond.

  • Une logique d’éducation subtile :

Je donne toujours quelque chose de concret ou transformateur dans chaque email :

‧ une prise de conscience

‧ un exemple terrain

‧ une erreur à éviter

‧ une histoire vécue

‧ un cadre mental à adopter
‧ une mini histoire
‧ un fait d'actualité

  • Un seul objectif : déclencher une micro-action :

‧ Cliquez ici
‧ Achetez maintenant
‧ Je prends Rendez-Vous
‧ Regardez la vidéo
‧ Télécharger l'ebook
‧ Répondez au formulaire
‧ Découvrez l’offre

Même un simple “réponds-moi à chaud” peut être un CTA efficace.
Ce que je cherche, c’est l’engagement, pas juste la lecture passive (sinon on n'est plus dans le copywriting).

Personnalisez intelligemment pour créer du lien

Tout le monde parle de “personnalisation” en email marketing...
Mais l’erreur, c’est de penser que mettre le prénom suffit.


La vraie personnalisation, c’est celle qui donne l’impression que l’email a été écrit pour vous, maintenant, dans votre situation.


Et pour ça, je m’appuie sur 3 leviers :

  • Le comportement de la personne

    Est-ce qu’elle a cliqué sur tel lien ?
    Téléchargé un guide ?
    Vu une vidéo ?

    Je segmente, et je parle comme si je savais ce qu’elle a fait. Parce que je le sais.


“Tu as pris le temps de lire mon guide sur les offres irrésistibles. Voilà ce qui t'attend dès maintenant.”

  • Le contexte qu’elle vit

    Je ne vends pas une offre de la même manière à un freelance en reconversion qu’à une entrepreneure débordée.

    Je contextualise.

    Je parle avec ses mots, pas les miens.
  • Le ton adapté à son univers

    Certains lecteurs sont dans le coaching, d’autres dans la tech, d’autres dans le bien-être…

    Je n’écris pas pareil à tous.

    Mon ton change, sans jamais trahir ma voix.

    Au moment où j'écris cet article je repense à ce jour où je me suis inscrit à la liste d’un formateur américain bien connu.

    Dès le premier mail, j’ai eu l’impression qu’il lisait dans mes pensées.

    Il avait tellement bien segmenté son audience et adapté chaque mot pour parler aux freelances qui veulent monter en gamme. Les douleurs, les points de blocages, les réussites, l'état d'esprit du moment tout y était.


Résultat ?

J'ai pas pu résister. J’ai ouvert tous ses emails, un par un et après une quinzaine de jours j’ai cliqué sur l'email qui abordait son offre, j’en ai lu un, puis un deuxième, puis un troisième, et j’ai fini par acheter sa formation à 997$…

Pas parce qu’il a insisté.

Parce qu’il a su m'apprendre des choses nouvelles, dont j'avais besoin, au bon moment de mon parcours professionnel.

Tout l'intérêt de bien définir sa cible (son avatar client idéal) et de bien la segmenter pour envoyer la bonne séquence email aux bonnes personnes.

Pour définir votre avatar client, consultez cette vidéo de Sélim Niederhoffer, Formateur en copywriting :

5 structures incontournables pour rédiger des emails qui poussent à l'action

Je me suis longtemps acharné à écrire "au feeling". Parfois ça passait, souvent… ça tombait à plat.


Et puis j’ai compris un truc simple : si tu veux des résultats prédictibles, tu dois t’appuyer sur des structures solides. En bref, des techniques de copywriting.


Tu dois appliquer des structures qui t’aident à canaliser ton message, à écrire avec un argumentaire qui a fait ses preuves, suffisament bien ordonné pour respecter la logique qui vient convaincre ceux qui te lisent.


Aujourd’hui, je choisis mes structures comme un menuisier choisit ses outils.


Pas pour faire joli, mais pour construire des séquences qui convertissent.


J’en ai testé des dizaines.


Mais il y a 5 frameworks que je garde toujours sous la main. Parce qu’ils fonctionnent, en toute situation.


Les voici :

  • AIDA – Attention, Intérêt, Désir, Action


Un classique. Minimaliste, mais ultra-efficace.


→ Quand je l’utilise :
en début de séquence, pour accrocher fort dès le premier mail ou introduire une offre.

Exemple :

↳ Attention :
“Tu bosses dur, mais tu plafonnes.”

↳ Intérêt : “Et si ce n’était pas ta charge de travail le problème, mais ton positionnement ?”

↳ Désir : “Ce nouveau module t’aide à clarifier ton offre et doubler ton taux de signature.”

↳ Action : “Découvre comment ici.”


Ce que j’aime avec AIDA : vous guidez votre lecteur pas à pas de façon naturelle.



  • 2. PAS – Problème, Agitation, Solution

Je m’en sers quand je veux faire remonter une douleur et que le lecteur sente :

“Merde… c’est exactement ça que je vis.”

→ Quand je l’utilise : en plein cœur de séquence, pour réveiller l’intérêt ou relancer une décision.

Exemple :

↳ Problème : “Tu publies sur Insta, tu fais des lives, tu offres des bonus… mais toujours pas de ventes.”

↳ Agitation : “Et chaque jour qui passe, tu doutes un peu plus de ton offre. Tu commences même à te dire que c’est peut-être toi, le problème.”

↳ Solution : “Non. C’est ta séquence de vente. Et voici comment l’ajuster.”


C’est brut, mais ça touche.
Et ça convertit très bien sur une offre ciblée.


obtenir des emails marketing rentables par un email copywriter


  • 3. BAB – Before, After, Bridge

Simple, visuel, transformationnel.

Je l’utilise souvent pour montrer le “gap” entre la situation actuelle et la situation idéale.

→ Quand je l’utilise : pour introduire une promesse ou raconter une mini-transformation.

Exemple :

↳ Before : “Avant, mes emails étaient ouverts… puis ignorés.”

↳ After : “Aujourd’hui, ils me rapportent des RDV automatiquement.”

↳ Bridge : “J’ai juste changé ma manière de parler à ma cible. Voici la méthode que j’utilise.”

C’est rapide à lire et ça donne envie de faire partie de “l’après”.



4. PASTOR – Problème, Amplification, Story, Transformation, Offre, Réponse

Celle-là, je l’utilise quand j’ai plus de place, plus de narration.

Parfaite pour un email clé de lancement ou un mail de vente.

→ Quand je l’utilise : pour ancrer une histoire, apporter de la profondeur et construire une vraie autorité.

Exemple :

↳ Problème : “Tu veux vivre du copywriting, mais tu n’arrives pas à décrocher tes premiers vrais clients.”

↳ Amplification : “Et plus tu galères, plus tu acceptes des missions sous-payées… ce qui t’épuise.”

↳ Histoire : “J’ai connu ça aussi. Jusqu’au jour où j’ai décidé d’apprendre à me vendre en tant qu’expert, pas en tant que prestataire.”

↳ Transformation : “Aujourd’hui, mes séquences email parlent à ma place. Elles me ramènent des clients sans démarchage.”

↳ Offre : “Voici comment je peux faire pareil pour toi.”

↳ Réponse : “Découvre mon accompagnement ici.”

Un email PASTOR bien ficelé = une mini-page de vente qui convertit sans forcer.



5. ACCA – Awareness, Comprehension, Conviction, Action

Moins connue, mais puissante pour faire évoluer le niveau de conscience du prospect.

→ Quand je l’utilise : dans les séquences d’“éducation stratégique” — là où je construis la confiance.

Exemple :

↳ Awareness : “La majorité des freelances pensent que le marketing, c’est être visible.”

↳ Comprehension : “Mais en réalité, c’est surtout savoir convertir quand on est visible. Ce sont deux choses très différentes.”

↳ Conviction : “C’est pour ça que tu vois des gens avec 300 abonnés faire plus de ventes que toi avec 3 000.”

↳ Action : “Fais évoluer ton approche : découvre comment ici.”

C’est une structure que je recommande pour les lecteurs plus froids ou sceptiques.

Elle apporte de la pédagogie + une logique de progression naturelle.

Optimisez en continu : testez, analysez, ajustez

copywriter email optimisation de sequences de vente

Une séquence email ne se réussit jamais du premier coup.
Mais chaque version vous rapproche du bon résultat — si vous savez quoi regarder.

Ce que j’analyse systématiquement :

  • Taux d’ouverture → est-ce que l'objet ou l'adresse expéditeur pose problème ?
  • Taux de clics → est-ce que mon message est clair et engageant pour générer des clics sur l'appel à l'action ?
  • Conversions → est-ce que l’expérience post-clic est cohérente et fluide ?

Et pour tester efficacement, je peux changer les éléments suivants (toujours un à la fois) :

  • Objet
  • Angle d’approche
  • Longueur de l’email
  • Timing d’envoi
  • Format du CTA

Chaque séquence est un terrain de jeu pour progresser. Il n'y a aucune règle. celle qui fonctionne chez l'un peut flopper chez l'autre.

Mais le gros avantage c'est qu'elle est réutilisable.

Une bonne séquence, testée, optimisée, peut tourner des mois, voire des années si elle est evergreen (réutilisable année après année, sans rien changer).

C'est pour ça que ça reste un investissement avec un haut niveau de ROI (retour sur investissement).

Ce que je retiens après des dizaines de séquences écrites (et testées en condition réelle)

Ce que je t’ai partagé ici, ce n’est pas de la théorie.


C’est le fruit d’heures d’écriture, de tests A/B, de lancements parfois ratés, parfois brillamment réussis.


J’ai vu ce que donnait une séquence écrite trop vite, mal structurée, avec des messages envoyés au petit bonheur.


Et j’ai vu ce que pouvait produire une séquence pensée, conçue comme un parcours narratif, avec des emails qui tombent juste, qui connectent, qui vendent.


C’est là que je me suis dit : l’email n’a rien de “vieux”. Il a juste besoin d’être utilisé autrement.


Pas pour spammer.

Pas pour vendre à tout prix.

Mais pour partager des idées, créer une relation, et donner envie d’avancer à son lecteur.


Aujourd’hui, c’est ce que je fais pour mes clients : je construis des séquences qui traduisent leur vision, leur expertise, leur ton.

Des séquences qui vendent, c'est le but — mais surtout qui respectent leur audience, qui tissent du lien, et qui préparent le terrain pour une collaboration naturelle.


Si c’est ce que vous voulez aussi, on peut en parler.


👉 Je vous propose de découvrir mon service d’email copywriting. Vous pouvez aussi m'envoyer votre brief en cliquant ici et prendre RDV pour discuter de votre séquence email ou newsletter.


J'espère sincèrement que cet article vous aura aider.

À très vite.

 photo profil jeremy platon copywriter freelance

Publié par Jérémy Platon - Copywriter Freelance.

👋 Je suis Jérémy Platon, freelance expert en email marketing.

Depuis Bordeaux, j’aide les TPE/PME Services, Commerce et Internet à convertir leur audience avec des séquences d’emails et newsletters nouvelle génération conçues pour informer, rassurer, convaincre et guider naturellement vers l’achat, la prise de RDV, l'inscription...

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